Table of Contents
Palmarès de la 3e édition du Festival Ciné Salé !
Du 18 au 22 octobre 2017, se tenait au Havre, la 3ème édition du festival Ciné Salé ! Ce festival international du film de mer et de marins, propose des projections de films, d’animations et de documentaires. Sept films étaient notamment en compétition afin de remporter la « Vague d’Or » et la « Nouvelle Vague ». Le Petit Plongeur vous propose de découvrir le Palmarès Ciné Salé 2017 !
Qu’est ce que le festival Ciné Salé?
Il s’agit d’un festival annuel de cinéma et de culture lié au thème de la mer et plus largement de l’eau. Le thème est traité au sens large ! Mer et marins, mais aussi les ports, les pirates, les sous-marins, la pêche, la voile, la plongée sous-marine, les fleuves… Et tout ce qui flotte ou nage ! Ciné Salé, c’est aussi des manifestations culturelles liées au thème du festival ! Ainsi, les visiteurs participent à des rencontres, des lectures, des expositions, des chants, des ateliers…
Lauréats des prix « Vague d’or » et la »Nouvelle vague » !
Pour les films en compétition, ils sont au nombre de sept: Fendre les flots (documentaire – France de 2016) de Christophe Guérin, Heartstone (fiction – Islande de 2016) de Gudmundur Arnar Gudmundsson, L’homme dauphin, sur les traces de Jacques Mayol (documentaire – Grèce France Canada Japon de 2017) de Lefteris Charitos, Life and death on the shore (fiction – Japon de 2017) de Michio Koshikawa, Les ramasseurs d’herbe marine (documentaire – Russie France de 2016) de Maria Murashova, Naufragé volontaire (fiction – France de 2017) de Didier Nion et The weekend sailor (documentaire – Mexique Canada de 2016) de Bernardo Arsuaga.
Le jury professionnel a décerné la « Vague d’Or » au film Les Ramasseurs d’Herbes Marines. Quant au jury jeune, le choix s’est également porté sur le documentaire Les Ramasseurs d’Herbes Marines. Ainsi, c’est le film de Maria Murashova qui remporte la Vague d’or ainsi que la Nouvelle Vague.
Synopsis du documentaire : Rebolda, une île de l’archipel Solovki, au nord-ouest de la Russie, est inhabitée. Sauf quelques mois par an, où une poignée de saisonniers viennent récolter les laminaires, de longues algues brunes qu’ils font ensuite sécher. Rebolda est hors du temps. En effet, il n’y a ni électricité, ni moyens de communication. Ces hommes contactent leur famille par téléphone portable lorsque le réseau le permet, ils fument et parfois parlent entre eux. Mais quelle empreinte Rebolda laisse-t-elle à ces hommes ? Et qu’abandonnent ces hommes à cette « île de nulle part » ?
Source : Communiqué de presse Ciné Salé du 21 octobre 2017
Partager :